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(Contractante) Célène Alexander

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(Contractante) Célène Alexander  Empty (Contractante) Célène Alexander

Message par Célène Alexander Mar 4 Nov - 23:03

Nom, Prénom : Célène Alexander

Surnom/Nom d'emprunt : Les membres du syndicat l'appellent la Muette. Les autres la surnomment Austère.


Âge : 19 ans

Description Physique :

Fine et de petite taille ( 1m55 pour 45 kilos tout au plus ). Souvent habillée dans des couleurs sombres et affectionnant particulièrement le cuir, Célène ressemble la plus part du temps à une petite silhouette noire et pâle. Elle porte toujours une chemise blanche bouffante sous son corset de cuir noir quelque peu usé, un pantalon assorti à ce dernier, mais pourvu de sangles retenant des poches remplies de mémos, de feuilles et de stylos.
Plutôt bien proportionnée, la jeune femme n'est pas dénuée de formes féminines malgré son corps fin et musclé. D'ailleurs elle possède une grande force, accentuée par son agilité. Malgré son apparence, elle n'a rien d'inoffensif.
Son petit gabarit ne l'empêche pas d'avoir quelque chose d'intimidant, peut être en rapport avec son regard noisette mordoré, qui semble scruter l'âme de ceux qu'elle observe.
Il est très rare de la voir sourire, en réalité la pactisante adopte souvent un air sérieux et détaché, ce qui passe souvent pour de l'ennui.
Après son recrutement par le syndicat, elle ajouta des mèches violettes dans ses cheveux bruns et un piercing à sa lèvre inférieure afin de mieux se fondre dans son environnement et faire disparaître les restes de l'enfance inscrit sur son visage et sa petite taille. Elle ira jusqu'à se faire tatouer les bras et le haut du dos avec ses propres dessins. Dragons, rouages et instruments de musique peints dans une encre aussi noire que la nuit.
Malgré tous ses efforts pour effrayer son entourage, Célène garde un charme particulier, à la fois mêlé de ténèbres et de douceur.

Description Caractère :

Célène est discrète et solitaire, une habitude de vie prise dans l'enfance et renforcée par le prix de son pacte, qui est sa voix, ou plutôt ses cordes vocales, qui l'empêche de parler. Ainsi elle communique à travers l'écriture, notamment grâce à des mémos qu'elle garde dans ses poches avec des stylos et un carnet.  
Malgré sa petite taille et sa nature discrète, Célène ne passe pas inaperçue pour autant. L'atmosphère sombre qu'elle dégage a tendance à attirer l'attention de ceux qui s'approchent assez prêt pour pouvoir capter son regard. Bien que son apparence obscure et son silence effraient la plupart des êtres vivants, ceux qui savent l’apprécier trouveront sa présence rassurante car, d'une humeur constante, elle fait toujours les choses avec tranquillité et souplesse. Elle apprécie le calme, la simplicité, et aspire souvent à une vie faite d'art et de paix. Seulement la violence, la complexité du monde et de sa vie de tous les jours accaparent sa curiosité. Elle n'a pour ainsi dire aucune peur lorsqu'elle doit affronter le danger afin de se procurer des informations, des réponses.
Célène souhaite notamment connaître la raison de l'assassinat de ses parents, et prendra tous les risques nécessaires. Bien que d'une nature indolente, elle sait faire preuve de ténacité et peut se se montrer sans scrupules. Elle préférera cependant laisser la vie sauve et refusera de tuer si elle peut l'éviter, à l'inverse de beaucoup de pactisants contre lesquels elle nourrit une haine farouche. Elle n'hésitera pas en revanche à infliger des blessures ou de la douleur afin de se défendre ou de soutirer des informations.
La fuite reste cependant un moyen privilégié face aux affrontements même si sa connaissance des arts martiaux, enseignée par l'Aigle, l'assistant assigné à sa surveillance, lui permet d'être une adversaire de taille au corps à corps.
Lorsqu'elle n'est pas en mission pour le syndicat, elle passe la plupart de son temps avec son chat, à jouer de la musique ou à dessiner.


Affiliation : Syndicat
Rang : Pactisante

Partie Historique :


Née dans la vieille ville de Pijaztrov, Célène fut élevée par ses parents, deux membres de l'Arc. Ils avaient l'habitude de faire passer leur travail avant tout bien avant la naissance de leur fille et lorsqu'ils décidèrent de faire un enfant, ils lui assurèrent tout le confort dont il avait besoin, mais très peu d'affection et de temps.
Ainsi, Célène grandit avec un sentiment de solitude, qui semblait se faire de plus en plus fort d'année en année, avant de devenir partie intégrante de sa personnalité. Sa mère qui plaçait beaucoup d'espoir en son éducation, fut atterrée de voir que sa fille ne se faisait pas d'amis et de ce fait n'était absolument pas intéressée par les autres. En réalité, la petite fille n'était pas totalement désintéressée par son entourage, elle aimait observer les choses autour d'elle mais en revanche, abhorrait y prendre part. Elle pouvait passer de longues heures, immobile, à écouter les sons et les mouvements alentours.
A force de voir leur fille assise sur un fauteuil, à contempler le monde à travers la fenêtre, Elena et Oskar Alexander finirent par l'imaginer artiste et pour ses huit ans, ils décidèrent de l'initier aux différents arts. Dessins, peintures, poésie et musique. Célène eut toute sorte de professeurs et de cours, pour finalement lier une affinité avec le dessin, le piano et surtout le violoncelle, qu'elle affectionna tout particulièrement.
Ses seuls réels contacts étaient ceux échangés avec une tante, sœur de sa mère, qui appréciait son tempérament calme et attentif, qui lui permettait de déverser son flot de parole continu en toute tranquillité. Petite ouvrière vivant seule dans les bas-quartiers, elle venait régulièrement rendre visite à sa sœur et sa petite nièce, avec qui elle partageait une relation privilégiée.

Malgré tout, sa vie se passa en douceur jusqu'à l'apparition du Couvre-feu et de tous les troubles qui transformèrent la ville. A ses quatorze ans, l'année durant laquelle la porte des enfers avait remplacé les étoiles, un pactisant se glissa dans la maison de ville durant la nuit.
Une nuit donc, Célène fut réveillée par un bruit étrange, comme une sorte de grincement ambarique.
Lorsqu'elle se leva pour en vérifier l'origine, une porte avait apparu dans le couloir et disparu au moment même où elle la toucha. Elle comprit avec effroi qu'elle devait alerter ses parents, leur dire qu'un pactisant était à l’intérieur, mais aucun son ne voulut franchir ses lèvres.
La peur avait placé un étau autour de sa gorge, faute de pouvoir crier, elle se précipita dans la chambre de ses parents, mais le temps qu'elle atteigne le seuil, son père gisait sur le lit, gorge ouverte et baigné de rouge pendant qu'un homme vêtu de noir tenait sa mère par les cheveux. Célène eu le temps de voir la surprise figée sur ses traits délicats avant que la lame ne dessine un trait dans la chair et ne laisse s'écouler un flot carmin qui continua à se répandre bien après que le corps eut touché le sol.
Pendant quelques minutes, les deux Alexander eurent des mouvements saccadés entrecoupés de râles discontinus pendant que l'adolescente demeurait immobile, les yeux écarquillés d'horreur, sur ce qui auraient dû être un couple paisiblement endormi, mais n'était à présent qu'un tableau sanglant. Le pactisant s'approcha alors d'elle, lentement et sans mouvement brusque.
Elle ne bougea pas, pensant attendre la mort. Seulement il ne fit que s'arrêter devant elle et lui dire d'une voix très calme, presque dénuée d'émotion

« Mon contrat incluait Elena et Oskar Alexander, tes parents... Mais pas toi, petite. »

Il marqua une pause tout en fixant la jeune fille, toujours figée sur le seuil de la porte.

« Je suis désolé. »

C'est sur ce dernier mot qu'il fit apparaître une porte, avec le même bruit que celui qui avait réveillé Célène un peu plus tôt dans la nuit et disparut derrière.
Elle resta prostrée plusieurs jours derrière le mur de la chambre de ses parents, d'où elle leur parlait des heures durant, leur disant tout ce qu'elle aurait voulu leur dire. Se répétant à elle même d'une voix forte qu'elle n'aurait rien pu faire, qu'elle ne pourrait plus jamais rien faire à présent. Elle ne regarda jamais plus derrière la porte.
Des membres de l'arc vinrent au bout de 4 jours, s’inquiétant de l'absence prolongée d'une chronologue, Elena Alexander. Personne ne répondit à la porte, ils rentrèrent donc de force pour découvrir un bain de sang et une enfant roulée en boule.

Après cela, elle arrêta d'étudier et vécut quelques semaine dans la maison vide, vendant les meubles un à un. Sa seule compagnie fut celle d'un chaton noir qu'elle avait trouvé dans les rues. Puis un jour elle décida de trouver sa tante Slaneka, qui pleura beaucoup et pria Célène de venir vivre avec elle. La jeune fille refusa l'offre mais déménagea quand même dans les tiers-rues du bas quartier, où elle pût s'acheter un petit appartement dans un vieil immeuble délabré grâce à la vente de l'ancienne maison du centre ville dont elle ne récupéra que le piano et son violoncelle.

La vie dans les bas quartier était différente de celle qu'elle avait connue jusque là et étrangement le changement lui apporta un certain réconfort.
L'atmosphère sombre et menaçante des ruelles et de ses habitants lui devint vite familière, mais elle apprécia surtout les promenades sur les docks. Cependant, elle restait toujours prudente, ne sortait jamais la nuit et appliquait les conseils de Slaneka le mieux possible. Rapidement, les bas-quartiers s'insinuèrent dans ses veines et elle s'y sentit comme chez elle, dans cette ambiance ténébreuse et désordonnée. Son appartement adopta d'ailleurs le climat ambiant et devint vite un capharnaüm obscur.
Les journées de Célène se meublaient entre violoncelle, piano, dessin et promenades dans Pijaztrov, avec comme seule compagnie permanente son chat noir et plus occasionnellement celle de sa tante Slaneka. Qui venait s’enquérir de son état de santé, et lui donnait régulièrement de la nourriture, jugeant sa nièce sous-alimentée.
Elle vécut ainsi pendant trois ans, de ses quatorze à ses dix-sept ans, en écoulant peu à peu le pécule familial afin d'éviter d'être impliquée dans le trafic de rue, vivant en décalage avec le monde, seule dans son monde.

Les premières brises froides commençaient à effleurer la ville le jour du dix-septième anniversaire de Célène. Elle passa la journée avec son chat et sa tante, qui apporta un gâteau aux fruits rouges et un petit poisson pour le félin. Cette nuit-là, elle fit un rêve étrange, dans lequel une ombre silencieuse l’enveloppait, d'abord comme une étreinte, puis peu à peu rentrait dans sa peau, sa bouche, ses yeux, jusqu'à devenir une partie d'elle, robe de la nuit brumeuse, faite de sa chair et de son sang, à jamais collée à sa vie.
Lorsqu'elle ouvrit les yeux, quelque chose avait changé. Une nouvelle sensation était née, la sensation qu'elle avait passé un marché avec les Ténèbres. La notion de Pacte lui traversa l'esprit et y laissa un sentiment de curiosité mêlé à de la crainte.
L'appréhension d'une vie de sang et d'horreur, où les dormeurs étaient arrachés à leurs songes au plus profond de la nuit s'accrocha à son esprit, mais finalement à la tombée du jour, l’intérêt gagna son bras de fer contre la peur et Célène sortit de chez elle.
Elle se dirigea vers le Centre-ville, se promena dans l’arrondissement où elle avait jadis vécut, près du Quartier des soies, où elle admira les rues propres et lumineuses, les pavés élégants et les balcons fleuris de chrysanthèmes et de pensées.
Le monde autour d'elle lui sembla plus net, malgré la vitre qui la séparait depuis toujours de la Terre. A ce moment là, elle décida de trouver une ruelle vide et enveloppée de ténèbres, s'y arrêta et s'assit sur un banc.
Elle repensa au rêve qu'elle avait fait et aux sensations qu'elle avait eues. La jeune fille de l'automne choisit alors de se revêtir des ombres. Elle devint une ombre dans le brouillard de la nuit et vit les objets ainsi qu'à travers eux.
Elle courut jusqu'au port en passant à travers boutiques, maisons et personnes. Le voile nocturne lui procurant une quasi invisibilité, pas une âme ne la remarqua.
Lorsqu'elle rentra, l'évidence s'était déjà présentée à elle. Le pacte. Le contrat. Peu importe comment vous l'appeliez, il viendrait toujours avec un Prix.
Célène reprit forme humaine dans son salon et tenta d'appeler son chat, mais aucun son ne franchit ses lèvres. Elle réessaya encore et encore, mais seul son souffle passait la barrière de sa gorge. Au fond d'elle, elle avait toujours su que tel serait son Prix. Espérer n'y avait rien changé.
Le petit félin noir vint la rejoindre alors que des larmes chaudes coulaient sur la peau pâle de la jeune contractante.

Elle découvrit par la suite qu'il lui était possible de chuchoter, elle ne pouvait simplement pas utiliser sa voix. Ce qui en fin de compte, n'influait que sur sa relation aux autres, pas ses loisirs. Ce détail la rassura quelque peu mais elle trouva plus sage d'ignorer sa tante.
Elle lui glissa un mot sous sa porte lui expliquant qu'elle devait s'absenter quelque temps afin de prendre un bon bol d'air frais. Nul besoin de s’épandre, de plus que le Syndicat possédait des oreilles dans tout Pijaztrov à la recherche de Pactisant et de Pantin.
Il finirait par la trouver, mais le plus tard, le mieux. Il n'y avait aucune raison de hâter les événements. Célène utilisa son pouvoir le moins possible, se concentra sur sa musique et ses dessins. Seulement elle avait ouvert la boîte de Pandore, et rêvait de regarder à nouveau à l'intérieur. Elle se plut à sortir la nuit sous la forme d'ombre, afin de se promener dans la ville, et observer ceux qui la peuplent et la font vivre.
Quelques mois s’écoulèrent ainsi, puis finalement l'argent familial se fit rare et la jeune fille se décida à utiliser son pouvoir pour subvenir à ses besoins. Elle s'introduisit dans des magasins ou des maisons vides afin de remplir ses poches de monnaie sonnante et trébuchante.

Un jour glacial d'hiver, la sonnette retentit dans le petit appartement sombre de Célène.
Une femme aux traits froids et durs se présenta à sa porte sous le nom de Riza. Plus grande d'au moins vingt centimètres, elle toisa la petite brune aux reflets d’améthystes pendant de longues minutes, attendant une réponse, ou du moins une réaction, mais cette dernière préféra l'observer à travers ses prunelles mordorées.
Elle savait déjà que cette personne était venue la recruter. Après tout cela faisait longtemps qu'elle l'attendait.
La recruteuse avait fière allure, avec sa robe moulante noire qui laissait entrevoir un décolleté séduisant, ses talons hauts et ses cheveux courts en bataille. Seulement elle dégageait quelques chose d'inquiétant sous son regard maquillé sombrement.
La pactisante était curieuse de voir à quel point le Syndicat était renseigné. Pour l'instant, grâce à la présentation de cette femme ténébreuse, elle savait qu'il connaissait son nom et sa localisation.
Le silence finit par impatienter Riza, qui força son passage à l’intérieur. Elle marqua un bref arrêt lorsqu'elle aperçut le désordre ambiant. Livres, dessins, partitions ainsi que tasses, assiettes et objets en tout genre s'entassaient sur les meubles. Un chat noir dormait, roulé en boule sur une pile de feuilles, elle-même posée sur un fauteuil. Finalement, elle découvrit une chaise inoccupée et s'y assit.

« Célène Alexander. Je viens de la part du Syndicat afin de te recruter. »

Sa voix était aigüe mais forte, comme une lame fine tranchant l'air. Ce son déplut à la petite brune qui s'appuya, dos contre un mur et continua à fixer la recruteuse, le visage impassible. A cette instant, on put croire qu'elle n'entendait pas la femme élégamment habillée, assise sur sa chaise, ou du moins ne prêtait pas attention à ses paroles.

« Comprends-tu ta situation ? »

Célène pencha légèrement la tête d'un côté.

« Tu n'es pas très loquace, n'est-ce pas ? »

Un demi-sourire ironique se dessina sur les lèvres de la pactisante, après quoi elle se mit en mouvement et rangea des objets. Riza eut un mouvement d'impatience.

« Nous savons que tu as la capacité de te déplacer très rapidement, peut être grâce à un interstice. »

Les mains cessèrent de ranger un instant et l'image d'une porte qui n'était pas à sa place apparut dans l'esprit de Célène. Elle la chassa immédiatement en clignant ses beaux yeux d'or.
La sombre recruteuse sortit un cigare de son sac à main et le porta à sa bouche, tout en ignorant le regard réprobateur de son hôte. Sûrement essayait-elle de l'irriter ou de l'intimider. La membre du syndicat fuma son cigare, lentement, en savourant chaque bouffée.
A chaque expiration, une volute de fumée nauséabonde remplissait l'air, comme une bulle difforme et grise. Cela répugna la jeune contractante, qui prit la décision la plus sage pour elle, ignorer cette importune. Elle se dirigea vers son piano, qui était lui aussi encombré de feuilles et de couverts. Elle commença par le ranger et le nettoyer. Dans son dos, Riza l'observait avec intérêt, les gestes de la contractante étaient souples, en réalité son silence semblait rendre ses actes plus important, comme si ses gestes jamais annoncés, étaient surprenants.
Célène joua alors comme si elle avait été seule, des airs doux et mélancoliques, tels qu'elle en avait le secret. Elle se laissa emporter par la musique, entra dans une transe mélodique dans laquelle elle pouvait danser avec les notes et les feuilles brunes d'automne.
Quand elle reprit ses esprits, la recruteuse était toujours là, sur sa chaise. L'ombre d'un sourire sur les lèvres.

« C'était … pour le moins agréable. »

Elle sortit une lettre de son sac et la déposa sur le piano avant de se diriger vers la sortie.

« L'heure et le lieu de rendez-vous avec votre équipe sont marqués sur ce papier. Bienvenue dans le Syndicat. »

La porte claqua légèrement derrière les talons de la femme ténébreuse.
Ainsi, Célène fut recrutée par le syndicat. Elle allait toucher un salaire pour la première fois, elle espérait juste ne pas trop se salir les mains pour cela.

Pouvoir : Peut prendre une forme immatérielle. Ce qui lui permet de se déplacer très vite et de fuir très facilement. Sa forme à ce moment là est celle d'une ombre.  

Prix : Ne peut plus utiliser sa voix, ses cordes vocales.

Relations : Au sein du syndicat, elle a rencontré l'Aigle, l'assistant assigné à sa protection, ainsi que le pantin Aimée.


Dernière édition par Célène Alexander le Ven 13 Fév - 17:17, édité 10 fois
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Message par Artur Sikora Jeu 6 Nov - 12:02

Alors, alors. C'est parti pour la correction !

Dans l'ensemble, c'est très bien n_n. Tu le sais déjà, mais je le redis, j'aime ta façon d'écrire et ton personnage !

Maintenant, j'ai quelques points à soulever sinon c'est pas drôle.

- Je pense qu'il serait intéressant d'étoffer un minimum la description du caractère. On reste sur sa faim ! Je sais qu'elle a le droit à sa part de mystère, mais... Comment voit-elle le monde ? Que ressent-elle envers les autres ? A-t-elle des aspirations particulières, des regrets, des désirs ? Un petit aperçu de ce qu'il y a sous sa carapace éthérée serait fort sympathique, même tout petit ^^.

- Ensuite... Euh, bah, en fait c'était juste un point x). Ah, si. Là ce n'est que détail, mais quelques fautes résistent encore et toujours à l'envahisseur (principalement des oublis d'accord et des infinitifs qui ont refusé la conjugaison, bande de rebelles).

LA SUITE. TOUT DE SUITE.

EDIT: L'âge sur ton profil, c'est celui de ton perso en fait =p.
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